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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 14:11

P1150336Réveillés aux aurores par le lever du jour, la vue est tout simplement magique. Le petit déjeuner est servi, l’odeur des pancakes et du café nous met l’eau à la bouche.

Il est tout juste 7h, nous nous dirigeons à présent sur la fameuse île de Komodo, qui abrite elle aussi des varans. C’est d’ailleurs l'un d’entre eux qui nous accueille, à l’entrée sur le ponton.

Il nous faut attendre l’intervention du guide, qui muni d’un bâton parvient à le faire dégager. Sa démarche nonchalante nous fait difficilement imaginer que celui-ci peut courir à plus de 18 km/h !

Durant plus d’une heure, nous suivons notre guide à travers la forêt, où l’on peut voir des oiseaux colorés se pavaner sur les branches encore en fleurs. On croise également les varans, à l’abri du soleil qui se montre plus actif.

On retrouve ensuite le bateau, pour nous rendre à Manta Point. L’endroit est réputé pour la présence des raies Manta. Avant de sauter du bateau, on constate, navrés, que la mer est truffée de petites méduses.

La possibilité de nager avec une raie nous décide à nous jeter quand même à la mer. Durant plusieurs minutes, nous nageons au gré des courants à la recherche des raies, on ressent comme une petite montée d’adrénaline.

On nage sur plusieurs mètres sans rien voir. Le picotement des méduses se fait ressentir, il est temps de rebrousser chemin. Dans l’eau une ombre se forme, une raie Manta d’au moins 2 mètres d’envergure se trouve à 5 mètres sous nos pieds!

C’est tout simplement hallucinant !!! Pendant un long moment, on la regarde s’éloigner dans les profondeurs, suivie de près par un poisson pilote.

Après un dernier arrêt à la plage de Budadari pour s’adonner au snorkeling, c’est des étoiles pleins les yeux que nous retrouvons le port de Labuhanbajo.


Trajet jusqu'à Komodo

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Les Varans et l'île de Komodo

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Excursion snorkeling

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 14:09

P1140780Nous voilà sur l’ile de Flores, qui est considérée par beaucoup comme la plus belle ile d’Indonésie. Une réputation qu’elle n’a pas volé!

Sur cette ile toute en relief, on peut apercevoir les cônes des volcans qui culminent à plus de 2000 mètres.

Les routes sinueuses à flanc de montagne, elles-mêmes chargées d’une végétation dense, parsèment le paysage. La vie est rythmée par l’appel musulman à la prière, même s'il y a une forte population chrétienne. 

 Rien d’étonnant, 85 % de la population de Flores est catholique, ce qui fait de l’île la fille ainée de l’église en Indonésie. 

Nous sommes un groupe de  4 français, réunis pour une excursion en bateau en direction des îles de Komodo et Rinca. Tout au long de la traversée, la vue est splendide.

Les îlots aux formes parfois étranges, recouverts de végétation, se succèdent au beau milieu de l’océan.

On ressent une sensation de liberté sur la proue du bateau, sur laquelle on se prélasse. On arrive sur l’île de Rinca, où l’on s’apprête à rendre visite aux terribles "dragons de Komodo". Ils ressemblent à de gros lézards, qui mesurent entre 1m80  et 3m20 de long, et sont armés de terribles griffes.

Impitoyables, les varans sont des carnassiers qui déchiquettent tout ce qui leur tombe sous la dent. A savoir, les varans possèdent des dents tranchantes qui ne font pas de lui un simple lézard, mais une espèce de dinosaure dont la même espèce existait il y a 100 millions d’années.

P1150017Sa mâchoire grouille de virus et de microbes qui infectent les plaies de ses proies, qui n’ont plus qu’à attendre que le poison agisse.

Notre guide nous explique que deux de ses collègues ont été victimes du dragon la veille de notre visite! Information plutôt rassurante pour débuter la visite! Un article sur le Progrès a d’ailleurs été édité en France.

De notre côté, nous arrivons après 10h du matin sur l’île. La chaleur est étouffante, ce qui a pour conséquence de rendre les varans peu actifs.

Entassés en masse non loin du garde-manger, ils nous regardent du coin de l’œil. Il nous faut cependant faire attention, nous ne sommes pas à l’abri d’une réaction imprévisible.

Après cette rencontre avec les dragons, nous reprenons le bateau pour rejoindre la plage rouge. Comme son nom l’indique, cette dernière est connue pour la couleur de son sable, coloré par des milliers de petits fragments de coraux rouges venus s’échouer sur la plage.

L’eau turquoise nous invite à plonger du bateau, pour observer une nouvelle fois les fonds marins. La faune est très variée, c’est d’ailleurs la première fois qu’on peut observer autant d’espèces différentes dans un même lieu.

Devant nous s’étend un éventail de couleurs, où on a la chance de rencontrer tortues, raies à pois bleu, murènes et un requin de 2 m de long, le tout dans une eau à 27 degrés !

P1150193Après en avoir pris pleins les mirettes, le guide nous fait signe de revenir sur le bateau. Au loin, on aperçoit tout un tas d’ailerons qui nous invitent à les suivre.

C’est tout émerveillés qu’on peut voir en pleine action de jolis dauphins, qui n’hésitent pas à s’approcher furtivement de nous. Il y en a même un qui passe sous le bateau, un beau spectacle !

C’est au beau milieu de la mer, entourés de montagnes bordées de palmiers, que l’ancre du bateau est jetée.

On regarde une nouvelle fois le soleil se coucher, jusqu’à nous plonger dans l’obscurité.

On déguste ensuite un bon repas, sur un fond de musique traditionnelle, avant de rejoindre nos plumes, bercés par les vagues.

 

 

 

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Rencontre avec les Varans et île de Rinca

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Retour sur le bateau :-)

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 14:08

P1140698On se concentre sur les agences de voyage, pour acheter notre billet en direction de Flores.

Après en avoir arpenté plusieurs, il est difficile de trouver une personne qui nous explique clairement le programme de ce trajet.

Face à nos questions, « No problem » est la réponse qui est le plus souvent utilisée. On ne vous cache pas que cette nonchalance indonésienne a parfois le don de nous agacer.

Pas le choix, il faut nous contenter de cette réponse et partir à l’aventure ! Le départ est fixé à 8h30 devant notre hôtel, jusqu’à ce qu’on frappe deux fois à  notre porte pour nous annoncer un changement d’horaire.

Finalement, c’est à 7 h que le bus nous récupère, pour nous amener non sans mal au port de Lombok. On retient de ce trajet épique les fourmis qui ont envahi les sacs, une chaleur étouffante et les coqs qui n’ont pas résisté au voyage.

Décidemment, la malédiction des coqs nous poursuit ! Il nous faut attendre environ 2 heures avant le départ du bateau. Evidemment, on est repérés de loin par les vendeurs en tout genre. Bref, la vue sur les pains de sucre nous fait vite oublier ces désagréments.

Nous voilà à présent sur l’île de Subawa, où le bus nous récupère à la sortie du ferry. Pendant plus de 8h, nous traversons Subawa dans un bus bondé.

P1140703La route est sinueuse, on évite les pierres, victimes des éboulements. Fort heureusement, le paysage est superbe. L’île est peu habitée, elle est presque restée à l’état sauvage.

Après ce périple, entrecoupé d’arrêts pour déposer les locaux chargés comme des mulets, on arrive à 22 h dans une sorte de gare routière de fortune.

Le chauffeur nous dit « Finish !! », et nous conduit à un nouveau bus dans lequel on comprend qu’il nous faut passer la nuit. Il faut dire que l’endroit n’est pas très rassurant, la précarité saute aux yeux.

Une halte aux wc s’impose, mais à peine le temps de pénétrer à l’intérieur qu’on nous demande la pièce. Avec la fatigue accumulée, il faut résister à l’envie de les envoyer bouler !!

On est bien malgré nous étiquetés par notre couleur de peau, et on ne cache pas que c’est usant. Après un repas de fortune au bouiboui du coin, nous voilà à dormir sur des banquettes plastifiées, où les moustiques se font plaisir.

Autant dire que la nuit a été courte ! A 4 h du matin, le chauffeur tape fortement sur la porte. On comprend qu’il s’agit  du réveil ! Il nous faut rouler encore 2 heures pour arriver au port de Subawa, pour prendre une nouvelle fois le ferry.

Munis de nos gros sacs, on cherche un siège, mais ils sont pris d’assaut par les locaux qui ne se gênent pas pour occuper toutes les banquettes. On a la chance de trouver des matelas, où on peut récupérer quelques heures de sommeil.

P1140699Enfin c’est de courte durée, deux Indonésiens viennent nous demander une nouvelle fois la pièce. C'en est trop, on décide de ne pas se laisser faire et de se révolter contre ce système corrompu.

On n’est d’ailleurs pas les seuls à se plaindre, d’autres touristes font part de leur mécontentement.

On vous épargne la polémique qui suit, mais ce qu’on trouve regrettable, c’est cette faculté qu’ont les Indonésiens de nous prendre parfois pour des imbéciles. On veut bien payer, mais pas se faire plumer ! 

 Le ferry nous accoste sur le port de Labuhanbajo, doté de maisons traditionnelles sur pilotis.

Ce gros village est bâti tout en longueur, au fond d’une belle baie sur laquelle on assiste à un sublime coucher de soleil.

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 14:02

P1140391Voici un village de pêcheurs et d’agriculteurs, lové autour de sa plage.

Le village se résume à deux rues commerçantes, traversées par une route qui s’étend sur 2 km, plutôt bruyante.

Ici, on croise des surfeurs en quête de sensations fortes.

Les voir glisser sur des vagues puissantes est d’ailleurs un vrai spectacle.

De chaque côté de la plage, on peut admirer deux sublimes rochers, qui semblent sortir d’un rêve.

On est très vite dépaysés, dans cette bourgade de pêcheurs qui offre des plages paradisiaques.

Il suffit de nous évader avec le scooter, dans un rayon de 20 km, pour découvrir des bouts de côtes tout simplement merveilleuses, parmi les plus belles et les plus désertes qu’on connaisse. Les photos parlent d’elle-même non ? Et là, Bali peut aller se rhabiller !


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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 14:01

P1140252Levés aux aurores par le chant du coq, on n’est pas contre un coq au vin ce matin ! Comme convenu, notre taxi nous attend devant l’auberge.

Dans sa course folle, il heurte de plein fouet un coq, qui a eu le malheur de croiser son chemin. On vous rassure, vu le choc, on pense qu’il n’a pas souffert ! Finalement, on a bien failli l’avoir notre coq au vin :-)

Il nous faut maintenant prendre un  bateau, pour nous rendre sur l’île de Gili Nanggu et profiter de la mer cristalline.

Bien entendu, on a droit au comité d’accueil habituel. Vendeurs de sarong, de nourriture ou de grigris en tous genres tentent leur chance avec leurs prix américains.

Le cadre est encore une fois superbe, les tortues viennent en masse pondre sur la magnifique plage de sable blanc.

Autour de nous s’étendent d’immenses chaines de montagnes, qui reposent dans la mer, et des rangées de cocoteraies à perte de vue.

P1140304C’est aussi l’un des plus beaux spots de plongée de Lombok. On confirme ces dires, les coraux sont splendides, enfin un endroit préservé.

Une fois équipés, on s’aventure dans l’eau. On constate, surpris, des sortes de cages en fer où sont fixées différentes variétés de coraux.

Le guide nous explique qu’il s’agit d’un système écologique, qui favorise la reproduction des coraux. L’idée est très bonne, y’a plus qu’à espérer que les mentalités changent !

Nous devons écourter notre sortie snorkeling à cause de la pluie. Il faut savoir que c’est la saison des pluies en Indonésie, et les journées sont par conséquent entrecoupées. 

 N’exagérons rien, on a la chance de passer entre les gouttes.

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 13:32

P1140146Nous partons en speed boat, relier l’île de Lombok. Une fois à terre, un bus local nous dépose à Senggigi.

On opte pour la location d’un scooter pour visiter l’île. On se rend au temple de Narmada, situé dans les terres.

La circulation est dense, il nous faut bien serrer à gauche pour éviter l’accident. Le code de la route est loin d’être appliqué, à défaut d’exister !

La route qui y mène est bordée de mosquées aux dômes colorés. On croise des enfants, en uniformes, qui s’empressent de nous crier « hello » à notre passage. Une fois de plus, l’accueil des Indonésiens est vraiment chaleureux.

A notre arrivée sur le parking du temple, il nous faut une fois de plus donner la pièce. En ce qui concerne le temple Narmada, il n’a rien d’exceptionnel, mais il a le mérite d’être reposant.

P1130954On s’accorde un moment de détente, en trempant nos pieds au bord de la piscine, non loin des enfants nus qui barbotent dans l’eau.

On se fait surprendre par la pluie, on en profite pour manger un Saki traditionnel à base de brochettes de viande et de riz, avant de reprendre la route. 

On se dirige ensuite sur la côte de l’île, d’où l’on jouit d’une vue imprenable sur les plages. La mer est turquoise et le sable d’un blanc remarquable.

Senggigi est un vrai coin de paradis, entouré de montagnes verdoyantes aux plages sauvages. Pour les amateurs de « seul au monde », c’est le bonheur absolu. Enfin en haute saison, ça ne doit surement pas être le cas :-)

On s’arrête devant les rivières, où les locaux font leur toilette quotidienne avec leur troupeau de vache. On croise des singes, qui tentent de quémander de la nourriture à défaut de la piquer !

Les enfants s’adonnent au foot en ce jour de dimanche. Les cages de fortune, faites en bambou, valent le coup d’œil !

La soirée se termine avec l’incontournable coucher de soleil. Wahou !!!

 

Temple de Narmada

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Visite de Senggigi et ses alentours

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Et l'incontournable coucher de soleil :-)

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 13:30

PICT0010A défaut des poules qui caquettent, des chiens qui jappent où des vaches qui meuglent, ce sont les minarets qui nous réveillent à 5h ce matin.

Positive attitude, la journée snorkeling prévue nous promet un beau moment avec nos amis les poissons.

Enfin c’est ce qu’on pense, jusqu’à ce qu’on soit une quarantaine de touristes, entassés dans le bateau.

Ce qui nous dérange le plus, c‘est au moment où le guide nous invite à le suivre dans l’eau. On l’entend hurler au loin « Tortue !! ».

Il suffit de quelques secondes pour créer une véritable cohue marine. Dans cette mer, pourtant tranquille, flotte tout un banc de tubas colorés qui se dirigent dans tous les sens.

Un seul objectif, voir des tortues. Triste spectacle ! On préfère s’éloigner du groupe, pour tenter notre chance plus loin.

On a bien raison, puisque c’est à l’abri de la foule qu’on se régale à observer de belles tortues, curieuses de nous voir…


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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 13:29

P1130896Ce matin, on quitte l’île de Bali pour nous rendre sur Gili Trawangan. Le seuls moyens de transport sur l’île sont les calèches. On a de la peine pour les chevaux qui traînent non sans mal les touristes !

Connue pour ses plages de sable blanc, son eau turquoise et pour ses Island Party, on a de la chance de profiter de tous ces avantages loin de la foule.

Après un bon Nasi Goreng (plat local à base de riz et de légumes) en bord de mer, on saute dans l’eau sans se faire prier.

On nage sur plusieurs mètres avant de s’arrêter, stupéfiés par l’état des coraux. Le bilan est dramatique, il ne reste plus grand-chose de la faune marine.

On comprend que la pêche à la dynamite, les bateaux à moteur et le réchauffement climatique ont fait de gros dégâts. Dans cet endroit pourtant paradisiaque la vie sous-marine est loin de l’être.

On se console avec une superbe tortue, que l’on croise au moment de rebrousser chemin. Comme quoi, la mer est pleine de surprises !

On l’observe manger les planctons des coraux. Notre présence de ne semble pas l’effrayer. On tente même de se rapprocher d’elle, la sensation que cela procure est presque indescriptible.

Durant plusieurs minutes, on nage à ses côtés au beau milieu de cette eau turquoise, avant de la perdre de vue. Tout simplement magique :-)

Les pieds dans la mer chaude, on fait le tour de l’île. On déambule entre les branches mortes et les bancs de coquillages, en attendant le coucher du soleil. Le décor est parfois sauvage, si on oublie les hôtels de luxe qui bordent les plages.


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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 13:26

PICT0018La route qui mène à Amed est vraiment belle. Durant 2 heures, notre taxi sillonne non loin des rizières et des volcans, dont certains crachent encore de la fumée.

On est loin de la ville grouillante et commerçante d’Ubud ! On se sent seuls au monde, dans ce village où poules, vaches et cochons évoluent en toute liberté.

Les habitants, très accueillants, semblent presque surpris de nous voir ! On a choisi spécialement cet endroit pour la proximité des sites de plongée, qui sont parmi les meilleurs d’Indonésie.

Tôt dans la matinée, on loue un scooter pour nous rendre à Tulamben, qui se situe à 8km de notre hôtel.

La route qui y mène offre de très beaux points de vue sur la mer en contrebas, et sur les volcans.

Une fois à destination, il nous faut traverser une plage de galets noirs et nager sur une centaine de mètres, pour voir immergé dans l’eau le fameux Liberty.

PICT0025La sensation d’avoir sous nos pieds une épave d’un cargo américain est spectaculaire.

Pour la petite anecdote, le cargo fut torpillé en 1942 avant que deux destroyers Américains décident de l’échouer à Bali pour en récupérer la cargaison.

Le projet échoua. Le navire est donc resté une vingtaine d’années sur la plage de Tulamben, jusqu’à ce qu’une éruption volcanique ne secoue l’île en 1963.

Poussé par la lave, le navire fut repoussé plus au large. A présent, les coraux ont envahi les lieux, et les poissons aussi.

On envie les plongeurs, qui ont la chance d’avoir une vue en trois dimensions. Pour se consoler, on s’amuse à plonger encore et encore pour contempler ce beau spectacle de plus prés.

On se rend maintenant sur une nouvelle plage, pour y découvrir un autre navire, mais cette fois-ci Japonais.

Il ne reste pas grand-chose de ce dernier, à part une grosse carcasse joliment décorée par les coraux. Celui-ci est beaucoup plus accessible, puisqu’il n’est qu’à deux mètres de profondeur sous nos pieds.

C’est fou comme la mer a repris tous les droits sur ce morceau de ferraille, transformé en véritable œuvre d’art marine ! Dès qu’on s’excentre du navire, on trouve de très beaux poissons. Notre coup de cœur reste le poisson pierre et le banc de calamars, tous des froussards !

 

Village et route de Amed

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Snorkeling près des bateaux échoués

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 13:25

P1130227Au moment du petit déjeuner, Michèle nous présente Yahia, un antiquaire Breton qui est sur Bali pour affaire.

En discutant avec lui sur l’import d’objets artisanaux, il nous propose de le suivre dans la fameuse ville de Tegalalang, pour négocier de bonnes affaires.

Il accepte de nous laisser un mètre cube dans son container à destination de la Bretagne.

L’occasion est inespérée, il faut imaginer qu’Ubud est l’endroit rêvé pour les amateurs de décoration et de meubles.

Pour imager, c’est un peu «Maison du Monde », mais avec des prix défiant toute concurrence.


Les petites shops qui bordent la route principale sont de véritables cavernes d’Ali Baba.

Difficile de ne pas craquer, devant tous ces objets artisanaux, revendus à prix d’or en France.

On s’arrête au gré de nos envies, à différentes shops, attirés parfois par les couleurs des mosaïques, les statues de pierres, des sculptures et des tableaux colorés.

On peut observer les sculpteurs et les peintres en pleine activité. C’est l’occasion d’échanger avec les locaux et d’entamer la négociation.

On se plait à jouer les « hommes d’affaire ». Il nous faut la journée complète pour trouver notre bonheur, et la facture est vraiment dérisoire.

C’est autour d’un café qu’on fait le bilan de cette journée très positive. Merci Yahia, les rencontres ne se font jamais par hasard, rendez-vous dans quelques mois en Bretagne !


Quelques news en direct : Nous sommes bien arrivés en Australie, et nous trouvons actuellement à Cairns. Après avoir découvert Cape Tribulation, nous avons loué un petit van pour nous lancer à l'assaut de la côte Est :-) Les connexions internet ne sont pas fantastiques et ne nous permettent pas de donner trop de nouvelles, mais tout va bien pour nous! A bientôt!


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