Il nous faut parcourir plus de 300 km pour arriver à Airlie Beach, on profite du trajet pour s’arrêter à différents points de vue qu’annoncent les panneaux de signalisation.
On se rend compte de l’étendue du pays, lui-même très verdoyant, entrecoupé par des ruisseaux qui serpentent les terres.
On s’arrête en haut d’un point culminant pour faire notre pause déjeuner, où l’on trouve une aire de repos aménagée.
L’odeur alléchante de la nourriture attire quelques visiteurs.
Postés sur leurs pattes arrières, des charmants petits walabies attendent patiemment qu’on leur donne à manger, un d’entre-eux a même un bébé dans sa poche!
Cette rencontre est très touchante, on passe plusieurs minutes à les observer à l’état sauvage. Ce moment est interrompu par la pluie, qui nous oblige à nous réfugier dans notre voiture.
En à peine une heure, certaines routes sont inondées et ressemblent à de véritables rivières. Aucun doute, la mousson est marquée par des pluies puissantes, qui rendent parfois les routes impraticables, allant jusqu’à inonder les terrains des maisons.
En arrivant sur Airlie Beach, on apprend qu’un ouragan menace la région, il nous faut être prudent.