Après un retard de vol de 3 heures 30 et un bon mois d’attente on se retrouve enfin à l’aéroport d’Oulan Bator.
Notre joie est immense et c’est donc à deux que l’aventure va se poursuivre :-)
Après des retrouvailles riches en émotions, on se dirige dans une petite auberge tenue par Vincent un français fort sympathique.
A peine installés, on démarre notre première visite dans la capitale.
La Mongolie est le pays dont la densité humaine au kilomètre carré est la plus faible au monde.
Ce pays est 4 fois plus grand que la France pour seulement 3 millions d’habitants.
Un million d’entre eux vivent dans la capitale et les 2 millions restants résident principalement dans la grande steppe. A titre de comparaison, il y a 13 chevaux pour 1 homme, ce qui représente 44 millions de têtes de bétail.
En visitant la capitale, ce qui nous frappe ce sont ces grands buildings qui poussent un peu partout dans la ville.
Un contraste où se côtoient moderne et ancien ce qui d’après nous dénote entre une population pauvre et les nouveaux riches qui arrivent en force grâce aux ressources minières.
Les Mongoles ont aujourd’hui accès à la mode, la technologie se développe, portables et ordinateurs font leurs apparitions.
Les voitures sont modernes et les Mongoles ne lésinent pas sur le Klaxon quant à la circulation… ;-).
En termes de nourriture, la restauration asiatique est présente dans tous les coins de rue.
Il est donc possible de manger Coréen, Chinois, Népalais, Thaïlandais et même Kasak à des prix très compétitifs (2 euros), idem pour se loger. On en profite donc pour faire plaisir à nos papilles!!
Après avoir arpenté les rue d’Oulan Bator, nous nous dirigeons dans un temple du centre-ville.
Celui-ci est bien défraichit mais cela n’enlève rien à son charme et à l’histoire qu’il en émane.
Nous profitons de cet endroit spirituel pour faire tourner les « moulins à prières » et faire nos vœux dans l’espoir qu’ils se réalisent un jour :-)
C’est également ici que repose une majestueuse statue de 27 mètres de haut. Difficile de ne pas se sentir tout petit devant les vestiges de nos ancêtres.
On conclura notre passage dans la capitale par un spectacle de danses et de chants traditionnels.