La cabine comprend 4 couchettes où l’on peut dormir confortablement.
Une petite table qui s’avère bien utile lors des 3 repas journalier, quelques rangements et une fenêtre d’où l’on peut voir passer le paysage à faible allure.
Durant le Transsibérien le train ne dépasse pas les 160 km/h mais il fait tellement d’arrêt en gare que sa vitesse est sans cesse ralentie.
J’en profite alors pour jeter un coup d’œil par la fenêtre mais honnêtement, lors des 2 premiers jours on ne voit que des forêts de sapins, de boulot et quelques lacs.
Il faut attendre les jours suivants pour apprécier le paysage Sibérien.
Après 28 h de trajet, j’arrive le soir à Ekaterimbourg, je me fais aider par un couple Russe pour trouver mon auberge.
Et après avoir gravi les 7 étages d’un immeuble, le propriétaire d’un appartement m’ouvre la porte. Je jette un coup d’œil sur le placard à chaussures et je me rends compte que je suis le seul touriste à séjourner ici.
En 6 mois de voyage, c’est une première !